Entrée 5

Marcelle Ferron  était une peintre québécoise qui est le centre d’attention d’un documentaire de l’ONF. Artiste passionnée et qui sort de l’ordinaire, elle se laisse découvrir par l’équipe de documentaristes et, du même coup, par le public. Elle est une personne qui d’après ce que le documentaire, parle beaucoup et aime parler aux gens. Avec la caméra à l’épaule, cela nous donne une approche très personnelle de quel genre de personne était Marcelle Ferron. Nous découvrons son univers, son histoire à travers les archives et l’entrevue en soi. La musique utilisée dans le documentaire n’est pas bien utilisée durant certaines images de transition. Lorsque nous voyons une des peintures de Mme Ferron, il y a une musique très lourde et nous fait ressentir un air de désordre et de douleur. Pourtant, le retour de l’entrevue est un retour à la peintre très amicale. Il y a une discontinuité à rectifier.

entré 4

St-Jérôme, une autre des banlieues de la grande ville. Je me dirigeai vers le bar Le Prélude, le 420, Mgr Dubois. Mon amie me raconta tout. Vers la onzième heure de la nuit le 24^e jour de mars, Gilles-André Aucoin, 48 ans,  l’intimidait avec ce qu’elle croyait être une arme. Ma chère amie n’a fait que ce que ce malade lui disait et elle lui donna l’argent qu’il revendiquait. Il s’était enfui vers le marché plus loin. Un autre homme fut remarqué plus tard. C’était pourtant le même fou avec un visage nu de barbe et aux vêtements différents. Les policiers l’ont heureusement attrapé peu après. J’étais au palais de justice le jour suivant le vol. Le voleur est accusé de vol qualifié, de se déguiser lors du vol et d’avoir fait des menaces de mort à ma chère amie. Il serait mis en taule jusqu’à la suite des démarches.   

Entrer 3

Je devais analyser la chimie et la dynamique du groupe de chroniqueurs professionnels de l’émission radio-canadienne La soirée est encore jeune. Durant l’émission de samedi dernier, l’animateur Jean-Philippe Wauthier avait invité les chroniqueurs Fred Savard, Marc Cassivi, Jean-Sébastien Girard et Olivier Niquet.

D’après mes observations, les intervenants semblent avoir une bonne chimie entre eux. Ils veulent faire part aux auditeurs une atmosphère amicale en ajoutant des remarques cocasses. Ils ont l’air d’être de bons amis et ils se taquinent à plusieurs moments même si le sujet est plus sérieux. Les chroniques se succèdent de façons rapides, mais compréhensibles.     

Entrer 2

J’ai lu et écouté deux chroniques différentes pour comparer leur énonciateur. Dans la chronique lue de Bernard Pivot du journal du Dimanche, le chroniqueur raconte le parcours de l’auteur de La Véritable Origine des plus beaux aphorismes, Dominique Noguez, pour trouver la source des phrases à but philosophiques populaire. Pivot a utilisé un ton neutre pour décrire sa situation et il semblait davantage rapporter la recherche aux lecteurs.  

La deuxième chronique, un extrait d’une émission radio, traitait sur le régionalisme : y farme pas étanche. Le chroniqueur de Radio-Canada Fabien Cloutier explique son expression en employant des exemples dans le monde actuel sérieux qu’il rend humoristiques. Il faisait référence à plusieurs éléments culturels comme l’émission de Jean Airoldi et de l’événement virale du ALS Ice bucket challenge.   Bien que rigolo, j’ai eu l’impression de perdre le fil de ce qu’il voulait dire après plusieurs exemples consécutifs.            

Entrer no1

Premier billet! Super! Je dois faire une chronique pour le 200^e de Drummondville. (200 ans pour vrai?!) Seulement, je ne me sens pas prête. Le sujet de la chronique est Cégep en spectacle, évènement que je suis familière pour la version secondaire, mais le problème est que l’évènement est très bientôt et nous n’avons pas eu aucune théorie. Je suis un peu (beaucoup) stressée/anxieuse à cet effet.

Quelques idées me sont venues à l’esprit toutefois pour ce que notre équipe pourrait faire. Nous pourrons peut-être interviewer un organisateur ou le gagnant local de CES (cégep en spectacle). Ce ne sont que des idées.